Modifications

[[Image:Basil.jpg|right|frame|Icône de Saint Basile at à Skete.com]]Notre Père parmie parmi les saints '''Basile le Grand''' (ca. 330 - [[1 janvier]], 379), était a été [[évêque]] de Césarée , en Cappadoce au IVe siècle. L'Eglise Église le considère comme un [[saint]] et l'un des [[Trois Saints Hiérarques]], avec saint [[Gregoire le Théologien]] (Gregoire de Nazianze) et saint [[Jean Chrysostome]]. Basile, Gregoire le Théologien, et le frère de Basile, Saint [[Gregoire of de Nysse]] sont appelés les [[Pères Cappadociens]]. L'[[Eglise catholique romaine]] le considère aussi comme saint et lui a donné le titre de Docteur de l'Eglise.

La mémoire de St . Basile est célébrée le [[1 janvier]] ; sa mémoire est aussi célébrée le [[30 janvier]] avec les [[Trois saints hiérarques]]. Dans la tradition grecque, il est censé visiter les enfants et leur donner des cadeaux tous les [[1 janvier]]. Cette fête est aussi marqué marquée par la préparation du [[Vasilopita|pain de Saint Basile]] (Gr. ''Vasilópita''), une pâtisserie avec une pièce cachée à l'intérieureintérieur.

Basile est né environ en 330 à Césarée de , en Cappadoce. Il venait d'une riche famille pieuse et qui a donné un certain nombre de saints, comme sa mère sainte Emilie, sa grand-mère Sainte Macrine l'Ancienne, sa soeur Sainte Macrine la jeune Jeune et ses frères saints Grégoire de Nysse et Pierre de SebasteSébaste. Il existe également une tradition largement répandue selon laquelle Sainte Theosebia était sa plus jeune sœur, qui est également rangée au rang des parmi les saintes dans de l'Église, était sa plus jeune sœur,.

Alors qu'il n'était encore qu'un enfant, sa famille s'installa à Pontus au Pont ; mais il revint rapidement à en Cappadoce pour vivre auprès de sa mère, et semble avoir été élevé par sa grand-mère MacrinaMacrine. Désireux d'apprendre, il se rendit à Constantinople et y a passé passa quatre ou cinq ans, ainsi qu'à Athènes, où il eut le futur empereur Julien pour un camarade de classe et où il devint ami avec Grégoire le Théologien. Les deux amis, Basile et Gregoire Grégoire ont été profondément influencés par Origène et ont compilé une anthologie des écrits non condamnés d'Origène connu , connue sous le nom de ''Philokalia '' (à ne pas confondre avec la dernière compilation du même nom).

C'est à Athènes qu'il a commencé sérieusement à réfléchir sérieusement sur la religion, et a décidé de se mettre en quête des ermites les plus célèbres , en Syrie et en Arabie, afin d'apprendre d'eux comment atteindre la piété enthousiaste et comment garder discipliner son corps dans la vertu par l'ascèse.

Après cela, nous il a pris la direction d'un couvent près de Arnesi d'Arnési, dans Pontusle Pont, dans lequel sa mère Emilie, désormais veuve, sa soeur Macrina Macrine et plusieurs autres dames, femmes s'abandonnèrent adonnaient à une vie pieuse de prière et de charité.

Il a été ordonné presbytre ''presbyter'' de l'Eglise Église à Césarée en 365, et son ordination est probablement le fait de ses supérieurs ecclésiastiques, qui voulaient utiliser ses talents contre les [[Arianisme|Ariens]], qui étaient nombreux dans cette partie du pays et ont été favorisés par des empereurs ariens comme Valens, qui régnait alors à Constantinople.

En 370 meurt Eusèbe, évêque de Césarée, est mort, et Basile a été est choisi pour lui succéder. C'est alors que ses grandes capacités se sont révélées. Césarée est un diocèse important et son évêque était, ''ex officio'', [[exarque ]] du grand diocèse de Pontusdu Pont. À sang chaud et un peu impérieux, Basile était était aussi généreux et sympathique. Son zèle pour l'orthodoxie n'était pas aveugle à ce qui pouvait être bon dans son adversaireet, et dans un souci de paix et de charité, il se contentait acceptait de renoncer à l'utilisation de la terminologie orthodoxe lorsque cela pouvait être fait sans sacrifier la vérité.

Avec toutes ses forces, il a résisté à l'empereur Valens, qui s'est efforcé d'introduire l'Arianisme arianisme dans son diocèse, et a tellement impressionné l'empereur avec tant de force que, si enclin qu'il était à bannir l'intraitable évêque, il le laissa en place. A un préfet impérial, étonné de la témérité de Saint Basile, il dit : "Peut-être que vous n'avez jamais traité jusqu'à présent avec un bon évêque."

Pour sauver l'Eglise Église de l'Arianismearianisme, Basile est entré en relation avec l'Occident, et avec l'aide d'[[Athanased'Alexandrie|Athanase]], il a essayé de surmonter sa méfiance attitude à l'égard des ''Homoousiens''. Les difficultés ont été renforcées se sont aggravées par l'introduction de la question de l'essence du Saint-Esprit. Bien que Basile défendait objectivement la consubstantialité du Saint-Esprit avec le Père et le Fils, il appartenait à ceux qui, fidèles à la tradition orientale, ne permettrait pas la principale pouvait autoriser l'emploi du terme ''homoousios à l'ancienne ' pour le Saint-Esprit ; et cela lui fut reproché dès 371 par des moines orthodoxes, et mais Athanase le défendit.

Ses relations avec Eustathe ont été maintenues en dépit des différences dogmatiques et ont causé la suspicionsoulevé des suspicions. D'autre part, Basile a été était gravement offensé par les adeptes extremistes extrémistes de l'Homoousianisme, qui lui semble être la relance de semblaient relancer l'hérésie sabellienne.

Il n'a pas vécu assez longtemps pour voir la fin des troubles entre factions et la réussite de ses efforts continuels en faveur de Rome et de l'Est. Il souffrait d'une maladie du foie et de son ascèse excessive semble avoir accéléré une contribué à sa mort précoce. Un monument durable de son souci épiscopal pour les pauvres fut le grand institut devant les portes de Césarée, qui a servi comme maison pour les pauvres, comme hôpital et comme hospice.

Son œuvre [[théologique]] très vaste est dominée par un traité capital sur ''Sur le [[Saint-Esprit]]''. Le plus estimé de ses ouvrages est ''l'Hexaïméron ou les six jours de la création''.

Hormis sa ''Règle'' et la liturgiequ'on lui doit, l'œuvre la plus connue de Basile est le ''Discours aux jeunes gens''. Cet ouvrage « humaniste » démontre comment un chrétien peut tirer profit de la littérature classique païenne. Il a laisse des ''Homélies'', des traités de ''Morale et d'ascétisme'', des ''Commentaires sur diverses parties de l'Écriture''. On a aussi conservé de Basile plusieurs sermons, dont neuf ''Sermons sur la [[Genèse]]'', avec une évocation de la beauté de la Création et de la grandeur de Dieu. Plusieurs lettres de Basile ont également été conservées.

Les principaux écrits théologiques de Basile sont son ''Traité sur le Saint-Esprit'' (Lat. ''De Spiritu Sancto''), un lucide et édifiante édifiant appel à l'Écriture et au début aux débuts de la tradition chrétienne afin ayant pour but de prouver la divinité du Saint-Esprit, et sa ''Réfutation de l'apologie de l'impie Eunomius'', écrit en 363 ou 364, trois livres contre Eunomius de CysiqueCyzique, l'exposant principal de l'arianisme ''anomoian''. Les trois premiers livres de la ''Réfutation'' sont ses travaux, la de lui ; le quatrième et cinquième livres qui sont en général inclus à ne ajoutés n'appartiennent pas appartenir à Basile, ou ni à Apollinaire de Laodicée, mais probablement plutôt à Didymus Didyme l'Aveugle.

Il a été un célèbre prédicateur, et de nombreux beaucoup de ses homélies, y compris une série de conférences de pour le Carême sur ''Les six jours de la Création'' (Gr. ''Hexaëmeron''), et ainsi qu'une exposition du psautier, sur les Psaumes ont été préservés. Certains, comme celui contre l'usure et celui sur la famine en 368, sont précieux pour l'histoire de la morale; d'autres illustrent l'honneur accordée aux [[martyr]]s et des aux [[reliques]]; l'adresse aux jeunes hommes sur l'étude classique de la littérature classique montre que Basile a été durablement influencé par sa propre éducation, qui lui a appris à apprécier l'importance des classiques comme len tant qu'instruction préparatoire.

Ses tendances ascétique sont exposées dans les la ''Moralia'' et les ''Regulae'', manuels éthiques à l'usage dans le monde des laïcs et, respectivement, dans le monastèredes monastères. En ce qui concerne les [[règles monastiques]] attribuées à BasilBasile, la plus courte ''Petite Règle'' est le plus probablement son œuvre.

Les manuels d'éthique et les sermons moraux illustrent les aspects pratiques de sa théologie théoriquesthéorique. Ainsi, par exemple, dans son ''Discours sur Lazare'' Basile explique quque c'il est en raison de notre nature commune de qu'il faut traiter les besoins naturels de notre voisin (par exemple, la faim, la soif) comme les nôtres, même si s'il est un autre individudistinct de nous. Plus tard , les [[théologien]]s explicitement explicitent cela comme un exemple de la façon dont les saints deviennent une image d'une nature commune , unique des personnes de la Trinité.

Ses trois cent cents lettres révèlent une nature riche complexe et attentive, qui, malgré les troubles de la maladie et de des troubles ecclésiastiques, reste optimiste, tendre et même ludique.

Ses principaux efforts comme un en tant que réformateur ont été dirigées vers l'amélioration de la [[liturgie]], et vers la réforme réorganisation des ordres monastiques de ld'Orient.

La plupart des liturgies portant le nom de Basile, dans leur forme actuelle, ne sont pas principalement son travail, mais ils elles préservent néanmoins le le travail de Basile dans pour ce domaine qui est de la formulation des prières liturgiques et de la promotion du chant de dans l'église.

Une L'une des liturgies qui lui sont attribuées est ''La Divine Liturgie de saint Basile le Grand'', une liturgie qui est un peu plus longue que la plus communément utilisée Divine Liturgie de saint Jean Chrysostome. Cette liturgie est utilisée célébrée par l'Église dans certains jours de fête, comme tous les dimanches du [[Grand Carême]] et le [[1 janvier|1er janvier]], quand on célèbre sa mémoire.

Toutes ses œuvres, et certaines qui lui sont attribuées, sont disponibles dans la ''Patrologia Graeca'', qui comprend la traduction latine des textes, d'une qualité variable. Nulle Aucune édition critique n'est encore disponible.

:Pour l'Eglise tu t'es montré comme l'inébranlable fondement,

This article makes use *[[:en:Basil of content fromCaesarea|OrthodoxWiki:Basil of Caesarea]], ''apud'': [[Wikipedia:Basil of Caesarea]]