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Antimension

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A partir d'un certain moment, ces tables portatives en guise d'autel n'ont plus étaient consacrées, peut être pour des raisons pratiques liées au fait qu'il fallait les déplacer plus loin dans des ''paraclisis'' (petites chapelles particulières), mais on consacrait uniquement un tissu qui était posé sur une table en cas de besoin de célébration en dehors, et ce tissu a pris lui aussi le nom de antimension. Surtout après la victoire de l'Orthodoxie sur l'hérésie iconoclaste (787 et 843), dans certains endroits on a commençait d'ajouter des petits morceaux de reliques à l'antimension, cousus dans un petit sachet. Mais cette pratique n'a pas gagné l'universalité, et jusqu'aujourd'hui dans l’Église grecque il n'y a pas des reliques dans l'antimension, mais uniquement dans la table de l'autel. Par contre, la signature de l'évêque donnait l'autorité canonique nécessaire à ces antimensions.
D'après le canoniste byzantin [[Théodore Balsamon]], la multiplication importante des chapelles particulières (gr. ''paraclisis'') a conduit à la généralisation de la présence de l'antimension dans toutes les églises<ref>Apud: Pr. Petre Vintilescu, ''Li­turghierul Explicat'', ed. 1998, p. 156. Voir aussi sur [[http://fr.scribd.com/doc/50854708/Liturghierul-explicat ce site]</ref>.
începând cu secolul al XVII‑lea întrebuinţarea Antimiselor s‑a extins şi la bisericile cu Sfânta Masă sfinţită, pro­babil mai mult din motive practice, de a putea uşor aduna miridele, dar şi din motive canonic‑administrative, căci Antimisul trebuie obligatoriu să fie semnat de episcopul locu­lui, iar retragerea Antimisului înseamnă lipsa dreptului de a sluji Sfânta Liturghie în biserica respectivă.<ref>Cf. Диакон Михаил ЖЕЛТОВ, „Антиминс”, în ПЭ, том 2, pp. 489‑493. </ref>
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